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Galerie de photos 1946

Les recherches 1946

 Le 20 juin 1946, un autre avion fut rapporté manquant entre Rockliffe (Ontario) et Roberval. Au cours des recherches entreprises pour le localiser, un avion piloté par Lt. B.D. Inrig qui volait au-dessus de Saint-Donat, a remarqué les deux ailerons de la queue si caractéristique du Liberator et ce, près du sommet de la Montagne Noire. Aussitôt un groupe de recherche fut organisé. F.L.Harry Coob pris en charge les opérations avec 3 civils de Saint-Donat: René Labelle, chef des gardiens de tour à feu de la région, Joseph Gaudet, gardien de tour à feu et Moïse Michauville, trappeur. Le matin du 24 juin 1946, guidé par un hydravion qui survolait le site de l'écrasement, Joseph Gaudet arriva le premier, suivi de René Labelle, de Moïse Michauville et d'Harry Coob. À leur arrivée ils ont vu de nombreux ossements, comme vous pouvez le voir sur une des photos plus haut . Près de 35 personnes, civils et militaires, ont participé aux opérations. Joseph Gaudet avait été demandé pour surveiller le site. Les recherches ont duré quelques jours. Suite à des discussions avec des professionnels de ce genre d'accident, personne ne peut survivre à moins d'un miracle. Ce type de Liberator devait voler à environ 200 milles à l'heure (320 km/h). Donc, imaginez à cette vitesse, frapper un cap de roche en montagne : la montagne, elle, ne bouge pas. Selon l'expert avec lequel je discutais, les membres, jambes, bras, têtes se sont séparés du corps à l'impact. Ils ont vu un corps qui semblait s'être traîné au pied d'un arbre. Personne ne peut confirmer ce qui a bien pu l'amener là. Seulement trois corps furent identifiés sur le champ. Le Dr. J. A. Melançon de Joliette mèna l'enquête du coroner. 

Galerie de photos 1946

Spécial " La Presse " 1946

La Presse 1946

Saint-Donat 25 juin 1946 " La Presse"

Par ce texte " Curieux écartés " de la presse, nous savons de sources certaines que le gouvernement fédéral avait demandé à Jos. Gaudette  de monter la garde afin d'empêcher des curieux d'approcher d'ici la fin de l'enquête par les autorités de l'aviation.


 Réjean Gaudet  environ 5 ans et Paul Gaudet environ 8 ans, fils de Joseph Gaudet,  se souviennent d'avoir vu ce révolver à la maison.

Ceci les avaient marqués parce que dans ce temps un revolver , n'était pas commun.  Un fusil 12, une 22 c'était normal. Un 303 c'était normal mais ce genre de carabine  était toujours caché,  seulement  le chef de famille savait  où il était.


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Contenu du site

Informations complémentaire La Patrie 21 octobre 1943 Description au dessus de la photo. Avion du type de celui qui a disparu. Description en dessous de la photo: c'est n bombardier " LIBERATOR" semblable que sont disparues depuis mardi dernier environ 25 personnes. On poursuit activement les recherches mais sans succès. Bombardier Liberator disparu mardi avec 24 ou 26 personnes. ____________________________________ Halifax, 21 (P.C.)------ Six membres d'équipage et 18 passagers, tous du Corps d'aviation royal canadien, sont disparus à bord du bombardier Liberator qu'on recherche sur les deux rives du fleuve depuis mardi a-t-on annoncé officiellement aux quartier généraux du Eastern Air Command. ...................... Les recherches les plus actives encore organisées au Canda par terre , par mer et par les airs, se poursuivent aujourd'hui en Québec et Montréal en vue de retrouver un bombardier quadrimoteur Liberator 26 personnes portés disparu. L'avion parti d'un port de l'Atlantique à destination de Montréal, fut enregistré pour pas dernière fois au-dessus de la ville de Québec à 10p.m. mardi. Cependant rien d'autre n'a transpiré quant à sa disparition, si ce n'est que les recherches, se continuent. On rapporte qu'hier des escadrilles de recherche ont survolé et fouillé le lit du fleuve et ses rives entre Gaspé et Québec, de même que la rivière Saguenay et perdirent un temps précieux en suivant les indications données par le personnes qui répondirent à l'appel par radio demandant des renseignements. << La population a répondu avec empressement à l'appel mais nous avons constaté que l'on nous signalait nos avions de recherches>> a dit un officier de l'aviation. Les avion de recherches et les équipages qui sillonnaient le fleuve furent handicappéspar un brume qui , au dire d'un officier d'aviation, a " rendu la recherche extrêmement difficile" Hier soir les autorités de l'aviation ont ignoré un flot de rapport venant du bas St-Laurent voulant que le gros avion de transport aérien s'était définitivement écrasé dans le fleuve dans cette région Ces rapports, reçus de maints endroits, n'ont pu être vérifiés. Ils faisaient mention d'un gros bombardier



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Photos 1946

Plusieurs rumeurs

 Selon les qu’en-dira-t-on de l’époque, on aurait trouvé un soulier à talon haut. Y avait-il effectivement une femme à bord ? Ou encore, selon certains, des gens venus de Sorel auraient demandé à des bûcherons opérant dans le secteur de descendre avec des chevaux les plus gros morceaux de l’avion fait d’aluminium. Apparemment ils les auraient fait fondre aux forges de Saint-Maurice. Selon certains journaux on dit que des personnes auraient trouvé les débris de l’avion avant 1946 .

Galerie de photos

Galerie de photos

Recherche à Mont-Joli en 1946

 À partir de Mont-Joli, comme vous avez lu auparavant, nous pouvons imaginer que le Liberator a dévié de son plan de vol dû au mauvais temps ou pour toute autre raison. Les causes de l’écrasement n’ont jamais été élucidées. François Dornier écrit ce qui suit dans son livre « Des bombardiers au-dessus du fleuve…, » « Dès le lendemain, sans nouvelles de   l'appareil et des ses passagers, l'on rapporta le Liberator manquant. La base de Mont-Joli fut mise en état d'alerte. Les appareils du 162 BR Squadron se joignirent à ceux du 119 et de l'école de bombardement et de tir, qui avaient déjà entamé les recherches. Pendant plus de 30 jours, les deux escadrilles de bombardement et de reconnaissance, totalisant plus de cinq cent hommes patrouillèrent sans arrêt toute la région. Tous ces efforts furent vains et le 23 novembre (1943) le Liberator était officiellement porté disparu''. Il y a eu près de 728 sorties représentant 2,438 heures de vol dans le corridor que devait suivre le Liberator : de Mont-Joli à Montréal. Cette nuit-là, pendant qu’à l’aéroport de Mont-Joli ont était en alerte, à Saint-Donat certaines personnes auraient entendu le bruit d’un quadrimoteur survolant le village. Chose assez inaccoutumée à l’époque. George Moore et Joseph Gaudet qui habitaient sur la rive du lac Archambault auraient eux aussi entendu les vrombissements des quatres moteurs. Peu de temps après un bruit sourd et plus rien. Ils ont cru que l’avion s’était abîmé dans le lac. Le lendemain les deux hommes, surpris par ce bruit, se sont contactés et décidèrent de prendre leur bateau et de faire le tour du lac afin de voir s’il y avait des débris d'avion ou encore des traces d’huile ou de gazoline à la surface de l'eau. Mais en vain. Après plusieurs heures de recherches eux aussi ont abandonné. Joseph Gaudet se rendit avec George Moore à l'hôtel de ville de Saint-Donat pour faire un rapport aux Forces armées disant que probablement un gros avion s’était abîmé dans une de nos montagnes environnantes. Les Forces armées ont ignoré leurs déclarations. Quelques jours plus tard, le temps s’étant éclairci, ils regardèrent dans les montagnes, mais rien ne laissait voir des débris d'avion ou de fumée. L'été qui suivit, Joseph Gaudet gardien de la tour No 4 sur le Mont Gaudet, voyait bien à une certaine heure un reflet sur la Montagne Noire qui n'était pas là l'été précédent. Il crut que c'était le reflet du soleil sur de l'eau s’écoulant d’un rocher .

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